La problématique informatique est devenue quelque chose d’assez courante de nos jours.
Il n’est pas rare que nous assistons de manière pense à des situations où telle organisations ou telles entreprises est touchée par une cyberattaque. C’est d’ailleurs dans ce sens que nous avons décidé de produire cet article pour vous expliquer comment retrouver le coupable d’attaques informatiques et aussi comment faire pour les dénoncer.
Avant toute chose, il faut savoir que pouvoir remonter à des coupables d’attaques informatiques, il faut connaître très bien le milieu. En somme, ce n’est pas une tâche assez facile. Bien évidemment ce n’est pas une tâche qui est impossible.
Comment procèdent alors les enquêteurs ?
Tout d’abord les professionnels en la matière ont tendance à analyser les différentes caractéristiques de la cyberattaque. Lors de cette investigation, il est notamment possible de pouvoir ne collecter pas mal d’indices. Il peut s’agir par exemple :
– des adresses IP utilisés au cours de l’attaque ;
– des noms de domaines qui ont pu servir ;
– certaines des métadonnées laissées parler pirate informatique derrière eux.
Ces éléments peuvent constituer des pistes assez intéressantes dans le but de remonter aux coupables de l’incident de sécurité. Cependant, il faudra être réaliste préciser quelque chose, l’analyse de cette donnée demande beaucoup de patience et de maîtrise. En plus de cela une bonne culture de la pratique des hackers habituels ou des groupes de pirate informatiques.
Deuxièmement, il faut faire très attention aux indices souvent laissés derrières. En effet, il n’est pas rare que les cybercriminels, propagent de fausses indices derrière pour pouvoir dissimuler leur identité.
Par exemple, pour réussir à souvent rendre difficile leur identification, les pirates informatiques peuvent utiliser des fournisseurs d’accès Internet qui ont tendance à ne pas répondre aux injonctions des autorités. Ils peuvent par ailleurs se servir de puissants outils de chiffrement. Sans oublier la panoplie de programmes informatiques qui servent à rendre anonymes les connexions.
Dans certaines mesures il a été observé à plusieurs reprises que les Cybercriminels usurpent l’identité d’autres individus pour réaliser leurs attaques informatiques. En 2019 on a pu faire cas une situation similaire en effet, un groupe de pirates informatiques du nom de Turla avait piraté les outils d’un autre groupe de Cybercriminels pour réaliser leurs méfaits. Cela a réussi à tromper la vigilance des ordinateurs qui ont cru à la base ce que c’était le groupe des pirates victimes, qui était le coupable de la cyberattaque.
C’est la réunion de tout cette situation qui montre à quel point il est difficile de pouvoir attribuer la paternité d’une cyberattaque groupe.
« Ce genre de manipulations est généralement l’apanage d’attaquants très sophistiqués. Le genre de groupe qui travaille pour le compte de gouvernements dans des affaires d’espionnage ou sur des cyberattaques de très haut vol. Et ça, c’est un point crucial. Car ces difficultés incitent certains pays à la prudence quand il s’agit de dénoncer publiquement les actions de leurs ennemis. Ainsi, dans le cas présenté un peu plus tôt, le groupe Turla est généralement associé à la Russie. Et le groupe OilRig serait plutôt lié à l’Iran. », explique un spécialiste en cybersécurité.
En conséquence, dans une situation d’attaque informatique avérées, il faut honnêtement faire attention à la manière de désigner le coupable. Car cela peut avoir pour conséquence immédiate certaine tension diplomatique. Ce qui est plusieurs fois arrivé entre de puissants État tels que les États-Unis la Chine, la Russie. Même si en pratique les États-Unis sont des genres à ne pas tenir compte de ce type de subtilité. Il n’est pas rare de voir l’État Américain pointé du doigt des coupables à tout bout de champ lorsqu’une organisation américaine les victimes des cyberattaques. Les coupables selon les Américains sont généralement des pirates informatiques originaires de la Russie, la Corée du Nord ou encore la Chine. Histoire de voir un peu une question de géopolitique.
Bien évidemment en pratique, lorsqu’un tel ou un groupe est pointé du doigt comme étant un coupable d’attaques informatiques, il peut très facilement nier sa culpabilité. Tout simplement car l’attribution des attaques informatiques n’est pas une science exacte. La plupart des informations que les enquêteurs peuvent utiliser en dehors d’une déclaration officielle de coupable, sont des preuves qui peuvent généralement réfuter sans grand effort.
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Comment on retrouve et attribue les attaques informatiques au pirates informatiques
La problématique informatique est devenue quelque chose d’assez courante de nos jours.
Il n’est pas rare que nous assistons de manière pense à des situations où telle organisations ou telles entreprises est touchée par une cyberattaque. C’est d’ailleurs dans ce sens que nous avons décidé de produire cet article pour vous expliquer comment retrouver le coupable d’attaques informatiques et aussi comment faire pour les dénoncer.
Avant toute chose, il faut savoir que pouvoir remonter à des coupables d’attaques informatiques, il faut connaître très bien le milieu. En somme, ce n’est pas une tâche assez facile. Bien évidemment ce n’est pas une tâche qui est impossible.
Comment procèdent alors les enquêteurs ?
Tout d’abord les professionnels en la matière ont tendance à analyser les différentes caractéristiques de la cyberattaque. Lors de cette investigation, il est notamment possible de pouvoir ne collecter pas mal d’indices. Il peut s’agir par exemple :
– des adresses IP utilisés au cours de l’attaque ;
– des noms de domaines qui ont pu servir ;
– certaines des métadonnées laissées parler pirate informatique derrière eux.
Ces éléments peuvent constituer des pistes assez intéressantes dans le but de remonter aux coupables de l’incident de sécurité. Cependant, il faudra être réaliste préciser quelque chose, l’analyse de cette donnée demande beaucoup de patience et de maîtrise. En plus de cela une bonne culture de la pratique des hackers habituels ou des groupes de pirate informatiques.
Deuxièmement, il faut faire très attention aux indices souvent laissés derrières. En effet, il n’est pas rare que les cybercriminels, propagent de fausses indices derrière pour pouvoir dissimuler leur identité.
Par exemple, pour réussir à souvent rendre difficile leur identification, les pirates informatiques peuvent utiliser des fournisseurs d’accès Internet qui ont tendance à ne pas répondre aux injonctions des autorités. Ils peuvent par ailleurs se servir de puissants outils de chiffrement. Sans oublier la panoplie de programmes informatiques qui servent à rendre anonymes les connexions.
Dans certaines mesures il a été observé à plusieurs reprises que les Cybercriminels usurpent l’identité d’autres individus pour réaliser leurs attaques informatiques. En 2019 on a pu faire cas une situation similaire en effet, un groupe de pirates informatiques du nom de Turla avait piraté les outils d’un autre groupe de Cybercriminels pour réaliser leurs méfaits. Cela a réussi à tromper la vigilance des ordinateurs qui ont cru à la base ce que c’était le groupe des pirates victimes, qui était le coupable de la cyberattaque.
C’est la réunion de tout cette situation qui montre à quel point il est difficile de pouvoir attribuer la paternité d’une cyberattaque groupe.
« Ce genre de manipulations est généralement l’apanage d’attaquants très sophistiqués. Le genre de groupe qui travaille pour le compte de gouvernements dans des affaires d’espionnage ou sur des cyberattaques de très haut vol. Et ça, c’est un point crucial. Car ces difficultés incitent certains pays à la prudence quand il s’agit de dénoncer publiquement les actions de leurs ennemis. Ainsi, dans le cas présenté un peu plus tôt, le groupe Turla est généralement associé à la Russie. Et le groupe OilRig serait plutôt lié à l’Iran. », explique un spécialiste en cybersécurité.
En conséquence, dans une situation d’attaque informatique avérées, il faut honnêtement faire attention à la manière de désigner le coupable. Car cela peut avoir pour conséquence immédiate certaine tension diplomatique. Ce qui est plusieurs fois arrivé entre de puissants État tels que les États-Unis la Chine, la Russie. Même si en pratique les États-Unis sont des genres à ne pas tenir compte de ce type de subtilité. Il n’est pas rare de voir l’État Américain pointé du doigt des coupables à tout bout de champ lorsqu’une organisation américaine les victimes des cyberattaques. Les coupables selon les Américains sont généralement des pirates informatiques originaires de la Russie, la Corée du Nord ou encore la Chine. Histoire de voir un peu une question de géopolitique.
Bien évidemment en pratique, lorsqu’un tel ou un groupe est pointé du doigt comme étant un coupable d’attaques informatiques, il peut très facilement nier sa culpabilité. Tout simplement car l’attribution des attaques informatiques n’est pas une science exacte. La plupart des informations que les enquêteurs peuvent utiliser en dehors d’une déclaration officielle de coupable, sont des preuves qui peuvent généralement réfuter sans grand effort.
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