Pour s’introduire dans l’ordinateur du principal suspect du vol de données de Desjardins, l’équipe informatique a dû simuler une panne informatique.
Ce qu’il y a permis non seulement de pouvoir surveiller Sébastien Boulanger Dorval, mais aussi mettre la main sur des documents qui ont été fraîchement décaviardé. Le suspect principal de la fuite massive des données personnelles a été alors mis au pied du mur.
Suite à l’incident de sécurité énormément qui a touché l’institution canadienne, il a été initié une enquête interne dans le but de trouver les coupables. Le principal suspect a été alors Sébastien Boulanger Dorval.
« Vers 13 h le vendredi 24 mai, une décision est prise par Desjardins de procéder à la coupure des accès d’un système utilisé par plusieurs employés de Desjardins, dont Boulanger, indique un résumé des techniques d’enquête utilisées. Desjardins simule une panne de ce système pour ne pas éveiller les soupçons de Boulanger. », explique un résumé des techniques d’enquête utilisées.
Dans les heures qui suivent, l’équipe informatique de Desjardins, profite de la situation et c’est introduit dans l’ordinateur. Il copie alors des fichiers suspects.
« À partir de ce moment, les accès de Boulanger aux systèmes sont désactivés et une surveillance étroite est mise en place sur son ordinateur portable », notent les avocats de Desjardins.
C’est dans une demande de procéder à une saisie civile de type « Anton Piller », du 26 mai 2019, que les explications étaient données.
L’opération a donc permis aux enquêteurs de Desjardins de constater que « à 15 h, Boulanger a branché une clé USB à son ordinateur de travail afin de transférer des fichiers confidentiels ».
De plus sur la clé USB que Sébastien Boulanger Dorval a remis aux enquêteurs de Desjardins, il y avait des informations qu’il avait volées.
Lors de la simulation de l’incident informatique, l’équipe de Desjardins contact alors le suspect en lui faisant croire que son ordinateur portable était infecté par un virus informatique. Les informaticiens le font comprendre qu’ils doivent récupérer l’ordinateur sans délai. Et ce n’est pas tout, les employés de l’équipe informatique l’appellent au téléphone et lui demande de ne pas utiliser l’appareil avant que les membres de l’équipe ne viennent sur place. Malgré cela, le suspect n’écoute pas les injonctions et à lui son ordinateur pour détruire toutes les informations.
Lorsque l’employé de bureau essaie de se rendre sur le lieu de domicile du suspect, il n’y arrive pas car il n’a pas la bonne adresse. Alors, l’institution rappelle ce dernier pour lui demander de donner ses véritables coordonnées car il faut lui remettre « la clé USB qu’il avait branchée sur son ordinateur vers 15 h ». C’est seulement à 20h que l’équipe informatique arrive à mettre la main sur l’ordinateur. Et c’est là qu’il se rende compte que Sébastien boulanger Dorval a remis une autre clé au lieu de la véritable.
Cependant, suite aux situations, les chercheurs de Desjardins réussi à établir une liste des 40 fichiers et le suspect avait réussi clé USB.
L’une des choses qui l’a piégé c’est le fait que les employés de Desjardins, ont trouvé dans la résidence de ce dernier une somme de 30 100 dollars. C’est argent totalement en liquide accompagné d’une vingtaine de carte de crédit déjà prépayé. Il aurait alors avoué qu’il avait vendu des renseignements confidentiels pendant 15 mois avant que les méfaits ne soient découverts.
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Comment une fausse panne informatique a piégé un pirate informatique
Pour s’introduire dans l’ordinateur du principal suspect du vol de données de Desjardins, l’équipe informatique a dû simuler une panne informatique.
Ce qu’il y a permis non seulement de pouvoir surveiller Sébastien Boulanger Dorval, mais aussi mettre la main sur des documents qui ont été fraîchement décaviardé. Le suspect principal de la fuite massive des données personnelles a été alors mis au pied du mur.
Suite à l’incident de sécurité énormément qui a touché l’institution canadienne, il a été initié une enquête interne dans le but de trouver les coupables. Le principal suspect a été alors Sébastien Boulanger Dorval.
« Vers 13 h le vendredi 24 mai, une décision est prise par Desjardins de procéder à la coupure des accès d’un système utilisé par plusieurs employés de Desjardins, dont Boulanger, indique un résumé des techniques d’enquête utilisées. Desjardins simule une panne de ce système pour ne pas éveiller les soupçons de Boulanger. », explique un résumé des techniques d’enquête utilisées.
Dans les heures qui suivent, l’équipe informatique de Desjardins, profite de la situation et c’est introduit dans l’ordinateur. Il copie alors des fichiers suspects.
« À partir de ce moment, les accès de Boulanger aux systèmes sont désactivés et une surveillance étroite est mise en place sur son ordinateur portable », notent les avocats de Desjardins.
C’est dans une demande de procéder à une saisie civile de type « Anton Piller », du 26 mai 2019, que les explications étaient données.
L’opération a donc permis aux enquêteurs de Desjardins de constater que « à 15 h, Boulanger a branché une clé USB à son ordinateur de travail afin de transférer des fichiers confidentiels ».
De plus sur la clé USB que Sébastien Boulanger Dorval a remis aux enquêteurs de Desjardins, il y avait des informations qu’il avait volées.
Lors de la simulation de l’incident informatique, l’équipe de Desjardins contact alors le suspect en lui faisant croire que son ordinateur portable était infecté par un virus informatique. Les informaticiens le font comprendre qu’ils doivent récupérer l’ordinateur sans délai. Et ce n’est pas tout, les employés de l’équipe informatique l’appellent au téléphone et lui demande de ne pas utiliser l’appareil avant que les membres de l’équipe ne viennent sur place. Malgré cela, le suspect n’écoute pas les injonctions et à lui son ordinateur pour détruire toutes les informations.
Lorsque l’employé de bureau essaie de se rendre sur le lieu de domicile du suspect, il n’y arrive pas car il n’a pas la bonne adresse. Alors, l’institution rappelle ce dernier pour lui demander de donner ses véritables coordonnées car il faut lui remettre « la clé USB qu’il avait branchée sur son ordinateur vers 15 h ». C’est seulement à 20h que l’équipe informatique arrive à mettre la main sur l’ordinateur. Et c’est là qu’il se rende compte que Sébastien boulanger Dorval a remis une autre clé au lieu de la véritable.
Cependant, suite aux situations, les chercheurs de Desjardins réussi à établir une liste des 40 fichiers et le suspect avait réussi clé USB.
L’une des choses qui l’a piégé c’est le fait que les employés de Desjardins, ont trouvé dans la résidence de ce dernier une somme de 30 100 dollars. C’est argent totalement en liquide accompagné d’une vingtaine de carte de crédit déjà prépayé. Il aurait alors avoué qu’il avait vendu des renseignements confidentiels pendant 15 mois avant que les méfaits ne soient découverts.
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