Cybercriminalité : top 4 des plus grosses prises des autorités
La cybercriminalité est en expansion d’année en année.
De même que le progrès technologique permet de faciliter la vie de tout un chacun, c’est de cette même manière que le cybercriminel profite aussi de cette évolution technologique pour semer le trouble. Alors on va s’engager une lutte incessante entre eux et les autorités aux charges de pouvoir et de la régulation des technologies.
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Aujourd’hui on assiste à une mise en place des police ou gendarmerie spécialisée dans la traque et l’incarcération des cyberdélinquants et criminels. Durant l’année 2019 on a pu les voir en œuvre sur plusieurs fronts. Nous avons décidé dans cet article vous parlez de 4 des plus grosses prises de ces autorités.
1) L’affaire des millionnaires du Rhône
Dès le début de l’année 2019, les autorités ont été en action. Précisément durant le mois de janvier, dans la région du Rhône en France, 3 individus ont été appréhendés par les autorités policières. Ils sont connus être des gérants d’entreprises fonctionnant dans le secteur des assurances. Et de surcroît des millionnaires. On les accuse d’avoir escroquer environ 8 000 Français en usurpant le statut du support de la firme américaine Microsoft. Cette arnaque selon les autorités aurait rapporté à nos cyberdélinquants plus de 2 millions d’euros. Les autorités ont décidé d’agir après avoir constaté plusieurs plaintes sur la plate-forme en ligne destiné à la cybermalveillance, depuis décembre 2017.
C’est pourquoi à partir de mai 2018, qu’une enquête fut ouverte par le parquet de Paris. La supercherie ne nécessite pas véritablement l’importante connaissance en matière d’informatique. Il fallait juste envoyer des messages qui était destiné à tromper les cibles en les faisant croire que les terminaux étaient infectés par des virus. Pour réussir à tromper la vigilance des personnes visées, le message était accompagné par le logo de Microsoft. Ce qui les permettaient d’arriver à leurs fins vu que la majorité des cibles étaient les personnes âgées. Finalement ils furent arrêtés pour : « escroquerie et blanchiment en bande organisée (…) introduction frauduleuse de données dans un système de traitement automatisé de données ».
2) Europol et la bande de cyberdélinquants
Cette fois-ci nous sommes en mai 2019, la police européenne qui traque un groupe de cybercriminel qui procède pratiquement de la même manière que les précédents. Cependant, ce groupe s’est plutôt spécialisé dans les smartphones. ils incitaient à leurs victimes à télécharger des programmes d’antivirus après leur avoir fait croire qu’ils étaient infectés par des programmes malveillants. Ce réseau qui a été démonté par Europol est accusé avoir fait plus de 41 milles victimes en se servant d’un programme malveillant Russe. Cette campagne de cybermalveillance aurait rapporté au groupe plus de 100 millions de dollars. Selon l’agence de coopération européenne en matière de police, les criminels avaient été poursuivis dans plusieurs pays dont la Moldavie la Géorgie l’Ukraine et les États-Unis
3) L’affaire du réseau de PC zombies
Vers la fin du mois d’août de cette année, la gendarmerie nationale française, précisément son centre de lutte contre la criminalité numérique a réussi à défaire un groupe de cybercriminel en les prenant dans leur propre jeu. En effet après avoir réussi à infiltrer le serveur des cybercriminels, les autorités ont réussi à mettre fin à l’activité des programmes malveillants qui ont été implantés d’entrée de 900 000 ordinateurs à travers le monde. Sauvant ainsi plusieurs systèmes informatiques qui auraient pu être ciblés par cette mise en place criminelle.
4) L’affaire du chantage par emails
Durant le mois de septembre dernier, les autorités policières ont arrêté un informaticien de nationalité française pour tentative de chantage par procédé d’email. Ce dernier procédait de manière intelligente en faisant toujours une pression psychologique sur sa victime. En effet il le faisait croire qu’il avait réussi à pénétrer leur système. Ce dernier est informé via mail. En prétextant avoir des images intimes ou d’autres informations sensibles, ils exigeaient une rançon pouvant parvenir à hauteur de 500 € mais en bitcoin. Selon la police, ce dernier aurait fait plus de 30 000 victimes avec un but et qui et qui valait les 20 000 €.
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