En quoi réside le futur de l’informatique
La révolution numérique est en cours, pour ce qu’il en est de l’informatique, il est en perpétuelle évolution.
Depuis une dizaine d’années, les organisations privées et publiques continuent d’adopter des solutions numériques pour améliorer la qualité de leurs prestations et services. Les budgets qui sont alloués à cette transformation numérique augmentent d’année en année. Le Cloud et l’intelligence artificielle continuent de prendre du terrain.
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Avec la pandémie à coronavirus qui a été ne pas source de beaucoup de bouleversements, Le travail à distance a été inclus dans les habitudes professionnelles. C’est qui à bien évidemment nécessiter une augmentation de l’utilisation de l’informatique. Les méthodes standard ont dû être réponse et les ressources numériques ont dû évoluer pour s’adapter à la demande grandissante.
C’est aujourd’hui l’emplacement n’est plus un véritable problème pour l’accomplissement du travail quotidien, il en demeure pas moins que les ressources nécessaires pour combler tous ses besoins et pour adapter les compétences à la réalité sont énormes. Les données qui sont générées dépassent largement le cadre de record. Alors il est temps de s’interroger sur le futur de l’informatique.
« Lors de l’examen de leur infrastructure informatique et de la mise à jour de leurs technologies, les équipes informatiques doivent également réfléchir à la manière dont leur entreprise peut rester à jour et s’adapter. Bien que la technologie ait toujours été un catalyseur, il est important de déterminer quelles technologies nécessitent notre attention et comment elles nous accompagneront dans cette nouvelle normalité. Nous avons analysé les technologies qui façonnent actuellement l’avenir de l’infrastructure informatique et avons examiné leurs impacts à long terme », souligne Philippe Azouyan, directeur de la succursale française de Dynabook.
Le spécialiste distingue la nouvelle technologie qui vont faire le futur de l’informatique en plusieurs catégories :
1 – Les technologies révolutionnaires
Dans cette catégorie, on y trouve l’internet des objets, l’automatisation et l’intelligence artificielle. Il se présente comme l’avenir de l’informatique.
« Bien que ces technologies ne soient certainement pas de nouveaux concepts, les progrès de l’apprentissage automatique (Machine Learning) et de l’apprentissage profond (Deep Learning) signifient que l’IA est sur le point de transformer pratiquement tous les secteurs. », note Philippe Azouyan.
Selon une étude publiée par IDC, en 2022 il faut s’attendre à :
– 80 % des entreprises qui a inventé le modèle de travail hybride. Ces entreprises auront à dépenser 4 fois plus de ressources en matière d’infrastructures Edge sécurisés. Des ressources qui seront compatible avec l’utilisation de l’intelligence artificielle. On estime une amélioration en terme d’agilité commercial et de circulations d’information en temps réel.
« Nos propres recherches confirment cette prédiction : nous avons constaté que 52 % des décideurs informatiques européens déclarent que les décisions d’achat concernant les solutions d’IA et de machine learning sont plus importantes aujourd’hui qu’avant la pandémie. Soit : 59 % pour les appareils portables, 60 % pour la technologie d’automatisation et 52 % pour les solutions informatiques de pointe. », déclare Philippe Azouyan.
« Pour rester compétitives dans ce nouveau monde, les entreprises devront améliorer leur vitesse de commercialisation, obtenir et utiliser des informations sur la façon dont leurs clients souhaitent utiliser leurs services, et gérer le rythme des changements technologiques ainsi que les attentes clients. Les solutions de Edge computing, par exemple, peuvent être combinées avec des appareils portables de nouvelle génération tels que des lunettes intelligentes. Ceci afin d’intégrer l’IA et l’IoT dans divers environnements professionnels. En effet, 63 % des entreprises déclarent être susceptibles de déployer des lunettes intelligentes dans les trois prochaines années, l’amélioration du travail mobile étant à l’origine de 47 % de ces décisions. », ajoute le spécialiste.
2. Les technologies du bien-être
« La technologie du bien-être a tendance à être un terme fourre-tout concernant les technologies qui améliorent la vie de ceux qui en ont besoin. Alors que les modes de travail deviennent de plus en plus distants et à domicile, ces technologies se tournent de plus en plus vers la priorisation du bien-être des employés – en d’autres termes, fournir les outils pour une configuration appropriée au travail à domicile ainsi que des outils collaboratifs assurant une bonne implication. », explique notre spécialiste.
Mais c’est dans le secteur de la communication que cela s’appréhende le plus aisément. En effet, les derniers mois qui ont suivi l’explosion de la contamination au coronavirus, les grosses entreprises tels que Microsoft, Zoom, Cisco ont vu l’utilisation de leurs outils de communication et de collaboration à distance explosion en terme d’utilisation. Aujourd’hui quelques mois après, on peut se rendre compte que ses outils ne sont plus des logiciels de productivité. L’aspect bien-être a été développé et est même devenu un argument commercial. L’idée ici est de placer l’employé dans des conditions lui permettent de facilement se sentir à l’aise.
« Selon nos recherches, seulement 30 % déclarent qu’offrir un soutien au bien-être des employés est une priorité lorsqu’il s’agit d’augmenter la productivité de la main-d’œuvre à distance. Mais ce n’est pas nécessairement la bonne approche – les employés les plus heureux sont les plus susceptibles d’être engagés et productifs. Donc la mise en œuvre d’une technologie à distance pour garder la main-d’œuvre connectée et engagée est essentielle lorsque l’on pense à l’avenir. », argumente, Philippe Azouyan.
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