La fraude au niveau des transactions bancaires
On parle de 2 % des transactions au niveau du commerce électronique et des banques, qui ne serait pas conforme en au règle. Ces transactions auraient été entachées bar de la fraude réalisé dans le but de tromper le système.
Selon une étude menée par la société de cybersécurité Kaspersky, une transaction sur 50 serait entachée par la fraude dans le secteur bancaire et de celui du e-commerce.
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L’analyse de Kaspersky Fraud Prevention dont les résultats ont été publiés en début de semaine, a démontré que 16 pourcents des transactions dans les secteurs précités était de nature suspecte et ont dû nécessiter une enquête très approfondie des autorités en charge de la conformité.
Il a été le plus observé, au niveau des activités malveillantes l’utilisation de programme informatique pirate, permettant d’avoir notamment des accès à distance a des logiciels de gestion de fonds. Par exemple dans le domaine du e-commerce, il a été observé que les fraudeurs avaient tendance à utiliser des actions programmées de manière automatique.
On le reconnait, les outils informatiques destinés aux services financiers permettent de faciliter la vie aux gens, en leur facilitant la gestion de leur le flux financier réduisant au maximum les déplacements et l’utilisation d’outils physiques. Cela a été le plus remarqué durant la période du confinement, ou une très grande partie voir l’essentiel des transactions ont été effectuées grâce à des services numériques. C’est qui a mis encore en avant l’importance de développer ses technologies. Cependant qui dit informatique dit dangers liés au piratage. Et c’est ce qui met en évidence le récent rapport produit par la société russe de cybersécurité, dans son analyse du Kaspersky Fraud Prevention. De cela, on se rend compte qu’il est essentiel de protéger l’ensemble de ces transactions.
Selon des statistiques fournies par à Kaspersky, en se fondant sur plusieurs événements observés par l’outil de détection des fraudes du fournisseur de sécurité russe, 63 % des cas de fraude, se constitue des tentatives d’accès à des comptes d’utilisateurs personnel, en utilisant des programmes malveillants ou de contrôle à distance, tel que AirDroid, AhMyth, TeamViewer, AnyDesk. Des outils qui généralement servent à travailler à distance ou encore à faire des dépannages si nécessaires.
Les pratiques sont assez similaires aux autres aux acteurs de cybermalveillance. En effet, les pirates informatiques pour réussir leur coup, se font passer souvent pour les équipes d’assistance, des services financiers de leur cible. De cette position, ils ne peuvent pas seulement tromper la victime en leur demandant mais c’est aller sur leur appareil des programmes informatiques. Ce qui leur permettra alors d’avoir facilement accès aux terminaux ciblées, d’entamer la procédure vol de données des informations sensibles telles que les codes d’accès les identifiants de connexion et autres informations financières. Les pirates informatiques ayant accès à ce genre d’informations peuvent initier des transactions financières tel que retirer de l’argent, demander des prêt ou acheter en ligne.
La société de cybersécurité Kaspersky a remarqué une utilisation très accrue de logiciel de contrôle à distance. Et cette augmentation de l’utilisation de ces logiciels coïncide nettement avec un grand nombre décidant où les victimes en été touché par des transactions frauduleuses, affectant leur compte en ligne. Dans 34 pourcents des incidents qui ont été détectés, ce genre de pratique a été nettement observé
Le secteur bancaire n’est pas effectivement le seul secteur qui est touché par la fraude comme nous l’avons mentionné plus haut. À côté il y a celui du e-commerce. Selon Kaspersky, 44 % des fraudes qui ont été détecté dans ce secteur impliquait la création et l’utilisation de faux compte. Les cybercriminels créent de faux compte et s’abonnent à plusieurs services tel que des programmes de fidélisation dans le but de recevoir des points de bonus de bienvenue. Avec ses points récoltés, ils les vendent ensuite en y affectant certaine remise. Pour faciliter la création de plusieurs faux comptes, car le faire manuellement serait très fastidieuse, les cybercriminels vont utiliser des robots ou encore des programmes informatiques spéciaux, qui est effectueront les tâches de manière automatique.
« Il peut être difficile de détecter les fraudeurs, car ils utilisent souvent des outils légitimes et savent imiter le comportement des utilisateurs authentiques. Par exemple, les outils d’accès à distance ne sont pas toujours malveillants et ne seront donc pas détectés par une solution anti-virus. Il n’y a rien de mal non plus à enregistrer un nouveau compte dans un programme de fidélité, mais il est suspect lorsqu’un grand nombre d’utilisateurs proviennent d’une seule adresse IP ou ont des tracés de souris similaires. C’est pourquoi nous examinons en permanence l’évolution des systèmes frauduleux afin d’optimiser notre solution », commente la responsable du développement commercial de Kaspersky Fraud Prevention, Claire Hatcher.
À l’issue de son rapport Casper qui va proposer des recommandations qui pourront permettre aux services et aux détaillants de pouvoir sécuriser la transaction et la gestion de leur plate-forme.
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