La maintenance informatique à l’épreuve de la sécurité des réseaux
Nous avons vu les cybermenaces évoluer dans le temps.
Avec l’explosion de la numérisation des services et la popularisation de l’outil informatique dans presque tous les domaines de la vie courante, les entreprises se trouve face à beaucoup plus de difficultés qu’elles ne l’avaient prévues dès le début. En effet avec la multiplication non négligeable des cyberattaques, à cause de plusieurs situations particulièrement la pandémie à coronavirus, elles sont les premières à subir les effets néfastes liés à la digitalisation croissante.
Cet article va aussi vous intéresser : 2 mesures pour protéger le réseau informatique de son entreprise
Avec le télétravail et l’exposition des réseaux informatiques d’entreprise à cause du télétravail, les enjeux en matière de sécurité de réseau s’en trouvent totalement bouleversés. Et cela implique une nouvelle manière d’observer la question de maintenance informatique.
« Les entreprises sont les premières à en subir les conséquences à travers leur réseau informatique. Avec la pandémie de la covid-19, elles ont pour la plupart accélérer leur transition numérique pour répondre aux besoins de télétravail. Dans ce contexte, les dirigeants d’entreprise se doivent de connaître les nouveaux enjeux en matière de sécurité des réseaux. Cela leur permet de trouver et d’adopter des solutions efficaces à travers la maintenance informatique. », peut-on lire dans un document publié par Lyon Entreprises.
Plusieurs domaines dans le secteur informatique inquiètent. Parmi lesquels occupe la première position le Cloud. Mais il y en a bien d’autres qu’il faut préciser. « Pour limiter la propagation du virus tout en continuant leurs activités, certaines entreprises ont opté pour le télétravail. Les hackers en ont profité pour mener plusieurs attaques contre les réseaux informatiques d’entreprises vulnérables », note Olivier Dedieu, premier responsable d Lyon Entreprises.
Selon les chiffres fournis par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information, les attaques informatiques basées sur les ransomwares ont connu une hausse de 255 % seulement en 2020. Les organisations les plus affectées par sur boom de rançongiciels sont notamment les collectivités publiques et les entreprises. Cela s’explique maintenant par le fait que le basculement vers le télétravail a été précipité et non préparé d’avance.
Vu sous cet aspect il y a quelques points sur lequel il faudra particulièrement faire attention et s’organiser du mieux possible pour réduire au maximum les vulnérabilités.
1- L’Internet des objets
L’Internet des objets est comme son nom l’indique une méthode d’établissement de lignes entre un environnement informatique particulier et des objets qu’on utilise au quotidien et ce par le biais de l’Internet. Grâce au développement de l’Internet des objets, il est possible aujourd’hui de tout contrôler dans sa maison grâce à un smartphone. Grâce à cela plusieurs applications continuent d’être développées pour améliorer l’expérience d’utilisateur. Malheureusement, cela accroît aussi les failles de sécurité. Particulièrement dans le secteur des objets connectés, les spécialistes ont tendance à marquer le fait que les vulnérabilités sont croissantes. Les cybercriminels, le savent et à plusieurs reprises ont démontré qu’ils peuvent en profiter. « L’employé qui est en télétravail et qui a un tel dispositif chez lui expose ainsi les données de son entreprise. Il devient ainsi nécessaire de sécuriser ces objets au même titre que votre ordinateur. Cette tâche est généralement confiée à des experts tels que l’entreprise d’informatique Landvart, expérimentée dans la gestion de réseaux informatiques d’entreprises. Ces professionnels interviennent partout en France, notamment dans les grandes métropoles comme Paris et Lyon. » explique Olivier Dedieu.
2- L’intelligence artificielle
C’est de loin l’une des plus grandes innovations en matière informatique. Elle a permis beaucoup d’avancée technologie qui permet de résoudre beaucoup de problèmes aujourd’hui. À l’inverse, l’intelligence artificielle se présente un peu malgré les efforts comme un outil capable de se retourner contre les organisations qu’elle est censée aider. En effet grâce à l’intelligence artificielle, il est devenu beaucoup plus facile pour les pirates informatiques d’usurper les identités de personnes importantes et mener des actes de cybermalveillance de grande ampleur tel que la fraude au président. L’illustration même est la pratique du deepfake, qui a sensiblement fait augmenter le taux d’hameçonnage dans le monde.
3- Les réseaux sociaux
Le trafic engrangé par les réseaux sociaux par jour est tout simplement énorme. À cause de cet important flux d’échanges, les entreprises sont présentes et en profite pour faire au maximum leur marketing. Et cela y comprit leurs employés qui ils sont pour diverses raisons. Les réseaux sociaux se constituent aujourd’hui comme d’importantes sources d’informations qu’utilisent les cybercriminels pour opérer. En effet, ils peuvent recueillir des informations qui à la base semble anodine mais suffisantes pour les cybercriminels. Cela peut-être par exemple le nom de l’employé ou de la personnalité ciblée, son numéro de téléphone ou adresse géographique ou boîte postale. Cela peut-être aussi sa date de naissance ou l’entreprise qui l’emploie ou dans laquelle il travaille. Des informations précieuses pour des campagnes de phishing à grande échelle. Par ailleurs, grâce aux réseaux sociaux, il est encore plus facile pour ces derniers d’initier l’hameçonnage en propageant plus facilement les liens vérolés.
Accédez maintenant à un nombre illimité de mot de passe :