Le parlement Australien, victime d’une cyberattaque d’origine Chinoise selon l’agence
Selon l’agence presse internationale Reuters, informée par les conclusions de l’agence australienne de sécurité informatique, the Australian Signals Directorate (ASD), il y aurait de forte chance que le ministère de la sécurité d’Etat de la Chine serait responsable des récentes attaques Informatiques tu aurais frappé le parlement Australien et plusieurs parties politiques du pays. L’agence de presse internationale soutient ces informations en se fondant sur les révélations faites par 5 des ses sources qu’elle tient absolument à garder anonymes.
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De son côté l’État chinois affirme que ce ne sont que des rumeurs. Il nie totalement toute implication dans cette affaire. Il affirme que le rapport délivré par l’agence australien de sécurité informatique contient des informations vieilles depuis le mois de mars. Soit quelques mois avant le piratage. Les résultats de ce rapport auraient été occultés dans le but de maintenir les bons rapports qui existent entre l’Australie et la Chine.
Par ailleurs si l’étendue de ces attaques informatiques avait été découverte depuis longtemps on dirait alors que ce n’est que ces derniers temps que le commanditaire a été dévoilé.
Le premier ministre contacté sur la question a refusé de donner son point de vue. Il n’a même pas voulu commander le débat selon quoi l’Australie et la Chine aurait eu des échanges à propos de ce piratage.
Le ministère des affaires étrangères de l’État chinois est revenu sur la question plusieurs fois et a tenté de toujours disculper son pays. Dans un communiqué reçu par agence internationale de presse, le ministre des affaires étrangères chinoises affirmait que les informations sur Internet ne sont pas toujours vérifiable. Il signifie aussi ceci : « Quand on enquête et que l’on détermine la nature d’incidents survenus en ligne, il doit y avoir des preuves, sinon, il ne s’agit que de rumeurs et de diffamation, collant des étiquettes sur des personnes sans raison. Nous voudrions souligner que la Chine aussi est victime d’attaques en ligne ».
La question du coupable est toujours en suspens donc et l’État chinois est toujours pointé du doigt par les sources inconnues de l’agence Reuters. En effet l’une d’entre elles affirment que « la chine pourrait très probablement nuire à l’économie australienne ». Étant le principal partenaire économique de l’Australie, quelle sera la part de vérité dans une telle assertion. Certaines personnes ne se laisse-t-il pas entraîner pas les élucubrations du président américain Trump ?. Car ce piratage est étrangement survenu durant des élections qui ont vu 151 parlementaires se faire élire. Encore une virée accusatrice dans le principal suspect la Chine.
N’oublions pas que dans cette même lancée, l’application de messagerie, Telegram s’est fait pirater par l’État chinois durant l’opposition des manifestants à Hong Kong. Cela reste encore à prouver mais Telegram affirme avoir les preuves. Cela sera donc une accusation de plus sur le dos de l’État chinois qui est de plus en plus montrer du doigt par les occidentaux comme un état voyou. Mais la chine n’est elle pas en quelque sorte victime aussi ?
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