Les innovations faces aux menaces informatiques pour le futur
Leader européen en matière de sécurité informatique, la société ESET s’intéresse à la sécurisation des systèmes d’information à l’ère de la 5G.
Cela est de bonne guerre surtout, lorsqu’on a toujours mis en évidence le fait de l’arrivée de ce nouveau réseau sera de nature à fragiliser la sécurité des réseaux informatiques. Il ne faudrait pas prendre négligemment.
L’objectif de la société de sécurité ESET, est de rassurer au mieux les utilisateurs, et les encourager à anticiper la menace informatique qui s’annonce. « Comme toute nouveauté technologique, il y a une part d’anticipation et une part de découverte avec les usages. Ce qui est sûr, la 5G va permettre l’accroissement d’objets connectés, quelques soient leurs fonctions et quelques soient les clients. Nous nous préparons pour participer à la sécurité de cette 5G et nous sommes confiants », explique, un expert en cybersécurité chez ESET France et Afrique francophone, Benoît Grunemwald.
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La société européenne garantie à ses clients qu’ils auront la meilleure collectivité possible avec la sécurité qui va avec. Pour Benoît Grunemwald, il faudrait appréhender la question de sécurité lorsqu’on parle de 5 G de manière peu passionnel. Il faudrait beaucoup plus s’axer sur les questions de vulnérabilité de matériel et de protection des données. « Sur le volet technologique, nous allons la protéger et protéger les éléments qui y seront connectés », précise ce dernier.
Le responsable de la société de sécurité met en avant le fait que sa firme continue les recherches pour être en mesure de s’adapter aux différentes innovations en matière informatique. Il faut préciser que c’est plus de 500 000 menaces par jour qui sont détectées par le système de sécurité de ESET. Avec sa nouvelle solution qui intègre l’intelligence artificielle, la société se met au jour de l’évolution technologique. Lors du Mobile Word Congres (MWC) 2019, la société exposait les avancées de la recherche dans le domaine de l’intelligence artificielle. « Il suffit qu’il y ait une petite modification dans une menace pour qu’elle soit une nouvelle menace. Cette explosion comparée à ce qu’il se passait il y a 30 ans est phénoménale ! Sans l’intelligence artificielle, nous n’arriverions pas à être pertinents sur une base de données aussi importante. », précisait Benoît Grunemwald.
Avec la pandémie à coronavirus, les habitudes et les pratiques informatiques se sont trouvées assez bouleversées. La trop grande digitalisation, qui dans un sens était presque obligatoire n’a pas manqué de causer beaucoup de tort. Les organisations qui n’étaient pas suffisamment bien préparées ont malheureusement subies beaucoup plus de dégâts que les autres. Ce qui marque la relativité des conséquences de la pandémie et du confinement de manière générale. « Notre métier lors de cette pandémie a été de recueillir les besoins de nos partenaires et de produire les éléments qui allaient les aider à une meilleure prise de décision en toute sécurité », notait fièrement Benoît Grunemwald.
Interrogé sur la question de l’Afrique, à savoir si le continent était en retard en matière de sécurité informatique, Benoît Grunemwald déclare avec réserve : « L’Afrique n’est pas plus vulnérable. Il y a des usages différents. Cela ne veut pas forcément dire un retard ». Il ne manque pas alors de préciser l’objectif de son entreprise, celui de mettre tout en œuvre pour que l’utilisation des technologies se fasse dans de meilleures conditions possibles. Car : « Il n’y a pas de frontière pour les menaces lorsque vous êtes connectés à Internet. Protéger l’autre, c’est se protéger. Il ne faut juste oublier personne. »
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