Les jeux olympiques de Tokyo 2020 vue sous un point de vue purement informatique : la cybersécurité un défi toujours présent peu importe le secteur
Interrogé par la presse, le président du CIO avait fait une déclaration en mentionnant notamment sans partenaire informatique, Atos dans la mise en place de tout l’aspect informatique des jeux olympiques et paralympiques Tokyo 2020. Dans cette édition le comité d’organisation avait non seulement décidé de renforcement seulement la cybersécurité mais aussi de miser sur le Cloud.
« Atos est notre guide de confiance dans cette période de grande transformation numérique. », déclarait Thomas Bach, le président du comité international olympique.
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L’organisation des jeux olympiques et paralympiques de Tokyo 2020 qui ont pris fin ce 5 septembre 2021 a fait appel à plusieurs expertises. Notamment celle de l’informatique. À ce niveau le travail que représente toute la mise en place exige des ressources énormes. L’organisation en charge de cet événement dressait à ce niveau un bilan de l’ensemble du travail qui a été abattu ainsi que des services et solutions mis en place.
Il faut signifier que cette édition a été particulièrement originale au niveau de l’organisation informatique. L’ensemble des applications et systèmes informatiques stratégiques et est basée dans le cloud. Une migration accomplie depuis l’initiative de Pyeongchang en 2018 pour les jeux olympiques d’hiver. On a assisté à cet effet à la réduction de presque de la moitié du nombre des serveurs informatiques utilisée par rapport aux jeux olympiques de Rio en 2016. Le comité est donc passé de 250 serveurs à 130 pour Tokyo 2020. Ce qui a permis une réduction conséquente de la consommation d’énergie ainsi que du nombre des structures censées être nécessaires pour l’ensemble du travail. L’impact au niveau du nombre de collaborateurs à déplacer a aussi considérablement baissé. Et si, l’empreinte environnementale des jeux olympiques de Tokyo 2020 a connu une amélioration par rapport aux éditions précédentes.
On note notamment oui augmentation du nombre d’utilisateurs supplémentaires des plateformes digitales dédié au Jeu par rapport à l’édition 2016 à Rio. C’est plus de 50 % d’augmentation, ce qui fait un trafic record de près de 6,5 millions d’utilisateurs pour le site internet officiel des jeux olympiques seulement au cours des premiers jours.
Globalement, 339 épreuves sportives ont pu être retransmises presque instantanément auprès du public, des diffuseurs, des journalistes ainsi que des milliards de téléspectateurs à travers le monde.
De plus, c’est prêt de 400 000 accréditations qui ont été émise. Ce qui fait une augmentation de 30 % par rapport aux jeux olympiques de Rio en 2016. « En cette période sans précédent, le soutien et la confiance de nos partenaires olympiques mondiaux sont plus importants que jamais », a signifié Thomas Bach, président du comité international olympique. « Nous sommes heureux de continuer à travailler de concert avec Atos, notre guide de confiance dans cette période de grande transformation numérique afin de fournir la structure et les principales plates-formes numériques sur lesquelles nous comptons pour organiser les Jeux olympiques. », ajoute ce dernier.
« Parmi les solutions déployées par Atos figurent des systèmes de gestion des Jeux olympiques prenant en charge la planification et les opérations, ainsi que des systèmes de diffusion d’informations permettant de transmettre les résultats en temps réel aux médias et à la famille olympique. En complément, une technologie Edge Computing a été mise en œuvre pour réduire les délais de traitement et assurer la fluidité des services. Enfin, pour renforcer la sécurité et la sûreté, un système avancé de contrôle des accès (AACS) intégrant des fonctionnalités de reconnaissance faciale fournies par NEC a été déployé. » explique le président du CIO.
Au niveau de la sécurité informatique, il a été nécessaire pour le développement des applications stratégiques ainsi que des outils de gestion, plus de 200 000 heures de tests techniques. Cela pour seulement les préparatifs ainsi que la réalisation pour une première fois de tests techniques nécessaires à distance. Au cœur de toute cette organisation, l’exigence de la cybersécurité. Pour cela il a été mis en place :
– un centre de sécurité, le Security Operations Center (SOC),
– une équipe Computer Security Incident Response Team (CSIRT),
– un dispositif de détection, d’évaluation des vulnérabilités au niveau des endpoints et de réponse.
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