Les logiciels malveillants plus innovants en 2021
Dans un rapport fourni par un spécialiste de la sécurité informatique Nuspire, il a été constaté une augmentation assez fulgurante des logiciels malveillants.
Cela dans un contexte où les attaques des cybercriminels deviennent de plus en plus impitoyable. En effet il a été observé aussi dans la même lancée que les pirates informatiques en tendance à s’en prendre aux structures qui se trouvent surcharger en terme de responsabilités à combler. Notamment le secteur de la santé et de l’éducation. Ledit rapport à préciser une en croissance si on peut le dire ainsi de 128 pourcents au 3e trimestre de 2020 par rapport au second trimestre. Une augmentation qui constitue plus de 43 000 logiciels malveillants différents qui furent détectés par jour.
Le rapport des montres aussi, que les acteurs de la cybercriminalité sont devenus de plus en plus impitoyables quant à leur choix de cibles. « Tout au long du troisième trimestre, les pirates informatiques ont déplacé leur attention des réseaux domestiques vers des entités publiques surchargées, dont le secteur de l’éducation. », explique le rapport de Nuspire.
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Dans les prévisions fournies par la société allemande d’édition de logiciels informatiques pour la sécurité G DATA CyberDefense, en 2021, les logiciels malveillants utilisés pour cibler les mobiles seront de plus en plus innovant. Ce sont des malwares qui se présenteront comme des mises à jour de logiciels beaucoup utilisés par les utilisateurs dans mobile. « Dans ce cas, les applications se présentent initialement comme des applications légitimes, ce qui explique pourquoi elles sont souvent qualifiées de légitimes par certaines solutions de sécurité. Ce n’est qu’après un certain nombre de mises à jour que les logiciels malveillants s’installent sur le système sans être remarqués, avec toutes les conséquences que cela entraîne. » précisant la société allemande de cybersecurité.
Pour ce qui concerne en l’ingénierie sociale, la pratique va aussi s’améliorer comme les autres.
Dans une étude fournie par Bromium, une société spécialisée dans la virtualisation, et commenté par le maître de conférence en criminologie à l’université de Surrey, docteur Mike McGuire, il a été observé plusieurs tactiques utilisées par les cybermalveillants pour attirer l’attention des internautes. Les réseaux sociaux étant leurs en leur champ de prédilection. Le même rapport explique que les cybercriminels arrivent à générer plus de 3 milliards de dollars en utilisant seulement l’ingénierie sociale. Bien que cela soit dans un contexte assez nouveau, il a possible pour les cybercriminels de gagner plus de 1500 milliards de dollars comme revenu chaque année. « Il s’agit d’une estimation prudente, basée uniquement sur des données tirées de cinq des variétés les plus en vue et les plus lucratives de cybercrimes générant des revenus. » note le rapport.
Selon G DATA CyberDefense, au regard de l’amélioration du secteur de la cybersecurité, les pirates informatiques cherche à améliorer leur approche de l’ingénierie sociale dans le but de la rendre plus performante.
C’est pour cela que les organisations sont invités à prendre les mesures idoines pour se protéger et protéger leur système informatique ainsi que leurs collaborateurs.
Du côté des objets connectés, la tendance de la cybercriminalité connaîtra aussi une évolution. En effet, avec la croissance de l’internet des objets dans tous les secteurs d’activité, les organisations seront obligées d’améliorer leur sécurité informatique et pour cause, les activités de cybermalveillance dans ce secteur se sont répandu beaucoup plus rapidement que dans les autres domaines. Il faut reconnaître que l’Internet des objets ne s’est jamais présenté comme un espace assez sécuritaire pour ce qui est de la sécurité bien sûr. Et depuis le tout début, les attaques informatiques ont toujours l’avantage sur les utilisateurs. « Si un appareil n’est pas surveillé en permanence et n’est pas considéré comme faisant partie de l’infrastructure du réseau, il faut y remédier », mettait en garde de la société de sécurité allemande. En clair il faudra observer une augmentation notoire des attaques visant les dispositifs IdO. « La convergence des technologies de l’information et des technologies opérationnelles rend les environnements plus vulnérables. Ces environnements fonctionnent souvent sur des systèmes existants pour lesquels il n’existe pas de correctifs ou qui ne sont tout simplement pas installés. Les organisations qui utilisent l’IdO seraient également bien avisées d’élaborer une feuille de route intégrale sur la cybersécurité et de procéder à des audits de sécurité réguliers », recommande alors G DATA CyberDefense.
Selon G DATA CyberDefense, les organisations peuvent mener une vérification pour savoir si elles sont suffisamment organisées préparer pour faire face aux cyberattaques. Au cas où elles peuvent commencer dès maintenant, à prendre les mesures qui s’imposent. « Il est important que le personnel manipule correctement les systèmes IdO et soit conscient des risques. Enfin, la plupart des cyberincidents sont causés par des actions humaines », conclut la société allemande.
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