Pegasus : la star des logiciels espions fait encore parler d’elle
Le logiciel Pegasus est devenu programme informatique populaire depuis le Pegasus Gates, une série de révélations publié par un consortium de médias internationaux en association avec Amnesty International du nom de Forbidden Stories.
Depuis le mois de juillet 2021, le logiciel Pegasus est sur la sellette et pointé du doigt par divers organisation à travers le monde sans oublier les défenseurs des droits humains qui sont particulièrement les cibles privilégiées utilisateurs de ce programme espion.
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Il y a quelques semaines de cela dans les médias d’Israéliens, la police de l’état de d’Israël est accusée d’utiliser Pegasus à des fins de surveillance de la population. Selon Calcalist, les autorités policières israélienne utiliseraient le logiciel fourni par NSO Group pour suivre à la trace certains citoyens, les pirater et espionner. Certains de ses potentiels cibles serait des personnes qui auraient appelé le premier ministre a démissionné déjà dans le passé.
Dans un communiqué de presse ce mercredi 19 janvier, le ministère de la Sécurité publique de l’État d’Israël à déclarer que tout ceci n’est que des allégations. Il promet cependant de mener une enquête pour s’assurer que les faits sont juste des rumeurs.
Bien évidemment la police il se réunit totalement cette violation de la vie privée comme mentionné dans le média israélien. Selon toujours ce dernier, cette campagne est généralement réalisée dans des conditions légales car elle aurait été validé par un tribunal dans l’intérêt de la police. La police de son côté a déclaré que tout ceci n’est qu’une mascarade en ses sens qu’elle se conformant toujours à la loi donc ces activités de surveillance.
Pegasus est connu comme l’un des logiciels espions les plus efficace et les plus dangereux qui existent au monde. Par conséquent, des accusations sont assez grave on connaît les fonctionnalités de ce programme. Que cela soit fondée ou non, l’éventualité même est nature à faire douter et inquiéter.
Selon l’autorité de la protection de la vie privée, utilisation de Pegasus si cela est vrai se constitue comme « violation sérieuse de la vie privée ». C’est d’ailleurs pour cela que le contrôleur de l’État, Matanyahu Englman, promet de mettre en place un dispositif qui sera chargé d’enquêter sur deux pour danser l’utilisation de logiciel Pegasus.
Selon loi, les autorités policières israéliennes n’ont pas le droit d’espionner leurs ressortissants.
Interrogé sur la question, la société derrière Pegasus, c’est-à-dire NSO Group répond de manière assez vague. Elle a simplement déclaré qu’elle « n’exploite pas les systèmes en possession de ses clients ». En ajoutant qu’elle n’est pas généralement impliquée dans le fonctionnement du système lorsque le logiciel est déjà vendu au gouvernement et aux organisations.
L’entreprise note aussi que son objectif bien évidemment en vendant ce logiciel de lutter contre la grande criminalité et le terrorisme, « en vertu des ordres de justice et des lois en vigueur dans les pays qui les achètent. ». Un argument qui est beaucoup utilisée par la société israélienne pour se défendre
« Cibler des citoyens israéliens est en tout cas un virage surprenant. En effet, le logiciel Pegasus n’est à l’origine pas autorisé à utiliser des numéros de téléphone israéliens et américains, encore moins sans mandat ni autorisation de la justice. Seul le service de sécurité intérieure israélien, le Shin Beth, est en mesure en Israël de procéder au piratage d’un téléphone portable sans passer par le cap de l’ordonnance judiciaire. », explique le média britannique the Guardian.
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