Près de la moitié des responsables informatique de la zone Europe ont pour projet d’augmenter leur investissement dans le domaine du Cloud
Une récente étude a livré que près de la moitié des responsables de la région EMEA prévoient de gros investissements dans le domaine des infrastructures informatique basée sur l’intelligence artificielle et le cloud.
L’étude provient de Aruba une entreprise de Hewlett Packard Enterprise. L’étude est intitulée : « Préparer le monde du travail post-pandémie ».
Pour ce qu’on peut déjà retenir de l’essentiel de cette étude, c’est que les responsables informatiques des entreprises, mettre en place un ensemble de systèmes qui fait appel à divers méthodes et standard professionnel. En d’autres termes, le but est de pouvoir faire alterner les collaborateurs et les employés entre le travail à distance, le travail en déplacement et le travail en entreprise. Dans ce contexte ils veulent faire évoluer leurs infrastructures réseaux.
Cet article va aussi vous intéresser : La problématique du cloud Américain à l’épreuve de la souveraineté des États européens
« Avec l’émergence d’un espace de travail hybride, il incombe aux responsables informatiques de trouver un équilibre délicat entre flexibilité, sécurité et coûts à la périphérie du réseau », précisait Morten Illum, Vice-président de la Zone EMEA chez Aruba. Il ajoute par la suite : « Chaque aspect de l’espace de travail doit évoluer : le campus doit disposer de la technologie nécessaire pour garantir des expériences sans contact et le respect des mesures de distanciation sociale, tandis que le bureau à domicile doit bénéficier d’une connectivité, d’une sécurité et d’un support équivalents à celui de l’entreprise. Pour répondre à ces nouveaux besoins dans un contexte économique difficile, les décideurs informatiques sont de plus en plus séduits par les avantages d’un modèle d’abonnement en termes de coûts et de réduction des risques ».
« Les besoins des clients et des employés ont tellement évolué au cours des derniers mois qu’il n’est pas surprenant de voir les responsables informatiques se mettre en quête de solutions plus flexibles », explique Morten Illum. « Une gestion de réseau agile et flexible constitue plus que jamais une nécessité pour eux et il est impératif de réduire la complexité des réseaux pour assurer la sécurité et la fluidité attendue par les utilisateurs ».
« La pandémie a amené de nombreuses organisations à repenser leurs investissements dans l’infrastructure informatique afin de mettre en place des modèles agiles, adaptables et répondant à leurs besoins. Bien qu’il ait pu y avoir un impact négatif initial sur les projets en cours, il est encourageant de voir qu’il existe des plans arrêtés à moyen terme pour investir dans des technologies réseau avancées, rendues possibles par des modèles de consommation plus flexibles qui limitent les demandes de capitaux initiales », résumé le responsable chez Aruba.
Selon Aruba : « En France, la proportion moyenne de services informatiques consommés par abonnement va augmenter de plus d’un tiers au cours des deux prochaines années, passant de 35 % du total actuel à 46 % en 2022, et la part des organisations qui consomment une majorité (plus de 50 %) de leurs solutions informatiques « as-a-service » va presque doubler au cours de cette période. ».
L’étude n’a pas aussi manqué de soulever les pactes directs de la pandémie à coronavirus sur le développement des systèmes informatiques et des interactions qui d’une certaine manière ont impacté la capacité des systèmes d’information. On retiendra en sommes :
– En France, 24 % les responsables de systèmes d’information ont jugé que le covid-19 a eu un impact « important » sur leurs effectifs, en termes de chômage partiel ou même de licenciement.
– 48 % estime que l’effet a été assez modérée
– Et selon 22 % le taux d’emploi qui ont été perdu est assez faible
– 79 % des responsables interrogés ont infirmer en France avoir reporter plusieurs investissements portant sur des projets de réseau informatique à cause de la pandémie à coronavirus.
– 33 % des répondants aux Français ont même déclaré avoir annulé leur projet.
– par contre en Suède, près de 59 pourcents de spécialiste ont déclaré avoir renoncé à plusieurs projets d’infrastructures réseau avant qu’on en Italie ce taux est seulement à 11 pourcents. Sur le plan mondial c’est 37 % de responsables du domaine informatique précisément dans le domaine de l’éducation et 35 % dans le domaine de l’hôtellerie de l’élément qui ont avoué avant a été contraint d’annuler plusieurs l’investissement dans le domaine du réseau informatique.
On peut déduire de la que les impacts de coronavirus sont évolutif dépend du secteur concerné.
Accédez maintenant à un nombre illimité de mot de passe :