Une détection immédiate des failles de sécurité, c’est la clé !
Chaque entreprise sait qu’aujourd’hui, il est essentiel de mettre en place un système qui permet de se protéger contre la menace informatique.
Aujourd’hui certainement, on est tous d’accord que les pirates informatiques ont clairement le dessus dans cette guerre. La question n’est plus de savoir si on sera piraté un jour. Il faut toujours s’interroger de savoir quand est-ce qu’on sera victime d’un piratage informatique. La cybercriminalité est malheureusement persistante. Il suffit d’une simple erreur et le pirate informatique en sort gagnant.
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C’est pour cette raison que dans l’organisation de chaque entreprise il faut envisager une protection contre les failles de sécurité. Que ce soit de manière interne ou externe. À ce propos, Anthony Cross, Directeur Régional France de Progress déclare : « La seule façon de protéger le réseau informatique d’une entreprise contre les failles de sécurité, qu’elles soient internes ou externes, est de recourir à une solution de supervision réseau proactive. La connaissance de la probabilité d’une cyberattaque, de son impact ou de son coût moyen ne suffit pas. Superviser leur réseau permet aux entreprises de sécuriser leurs actifs technologiques. ».
D’une certaine manière, les pirates informatiques ne trient plus véritablement le secteur d’activité dans le but d’étendre leurs actions. Il cherche la faille de sécurité qui va permettre de réussir. Ils ciblent non seulement les grandes entreprises mais aussi les petites et moyennes. Effectivement, la conséquence n’est pas similaire des deux côtés. Si du côté des grandes entreprises il sera facile de remonter la pente. Il n’en est pas de même pour les petites entreprises. Avec la pandémie à coronavirus, toutes les organisations ont subi d’une certaine manière les réalités de la cyber malveillance en son plein potentiel.
« Les cybercriminels ne sont pas regardants quant à la taille du secteur ou de l’entreprise qu’ils visent. Si les grandes entreprises peuvent se remettre d’une attaque, ce n’est certainement pas le cas pour une petite entreprise qui peut s’en retrouver anéantie. Or avec la pandémie, les entreprises ont élargi leurs écosystèmes numériques, ce qui a permis aux cybercriminels de bénéficier de plusieurs portes d’entrée par le biais de nouvelles applications, de technologies et autres accès à distance. De plus, les utilisateurs sont de plus en plus complaisants – ce qui ne fait qu’accroître le risque. », explique Anthony Cross.
Grâce à certaines technologies, il est possible de pouvoir détecter de manière proactive les activités suspectes qui peuvent se dérouler sur le réseau dans le but de pouvoir les contrecarrer. Comme l’a signifié le spécialiste plus haut, le seul moyen de pouvoir contrecarrer l’avancée majeure des cybercriminels est tout d’abord de maîtriser ses vulnérabilités et de savoir détecter les activités malveillantes avant qu’elles ne puissent se concrétiser.
D’une manière certaine quand on parle de violation de données, c’est une réalité qui a toujours existé. Il sera clairement difficile de s’en débarrasser du jour au lendemain. En effet selon un rapport fourni par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information, 11 % des attaques informatiques ont déjà ciblé des hôpitaux. 20 % des cyberattaques concernent particulièrement les systèmes informatiques de collectivité territoriale. Le reste qui constitue la grande majorité cible les entreprises peu importe leur taille. Selon le baromètre de Euler Hermes, deux entreprises sur 3 ont déjà été victimes d’une tentative de fraude en 2021.
De plus, les grandes entreprises sont beaucoup plus ciblées malgré les gros moyens dont elles disposent pour se protéger. Un récent rapport de IBM déclare que 62 % des entreprises ne sont pas suffisamment bien équipées pour faire face à une attaque informatique.
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